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Boules de Qi Gong ou Chi gong
Boules de Qi gong ou Chi gong
Les boules de Qi gong ou chi gong sont fabriquées depuis la dynastie des Ming. On les appelle aussi « boules de santé » car elles sont connues pour avoir des vertus bienfaitrices.
Parfaitement adaptées aux besoins de l’homme moderne, ces boules sont à faire tourner dans la main pour se relaxer. Elles massent nos points d’acupuncture et stimulent durablement les principaux méridiens, ré-harmonisent l’ensemble du corps en faisant circuler en nous le chi, principe de l’énergie vitale.
Les boules de Qi Gong chinoises sont creuses et sonores quand on les bouge. C’est l’association du travail rapide de rotation, sans jamais que les boules ne se touchent entre elles, avec les vibrations, qui permet ce massage des points externes d’acupuncture.
On travaille en rotation rapide, sans contact et le plus au bord des doigts possible, dans un sens et dans l’autre, mains droite, puis main gauche.
On tient les boules juste sous le nombril, à ce niveau du Dan tien *, on est assis et on respire calmement. On garde le dos bien droit, sans se raidir.
Ces mêmes boules, chacune sous un pied, vous massera pour un bien être que vous ne soupçonnez peut-être même pas !
(* Dan tien : de tout temps, les sages et les êtres éveillés issus de diverses civilisations ont parlé d’un centre énergétique fondamental, situé dans le ventre.)
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La pierre des fées
La pierre des fées
Ce sont des concrétions plates et concentriques naturelles originaires du Québec. Il s’agit d’une fossilisation d’argile et de calcaire, de végétaux et de micro-organismes dans les eaux froides des fontes glaciaires, il y a 6000 ans.
Les formes rebondies évoquent des silhouettes féminines et ont été rapproché des cultes à la Déesse Mère, aux Vénus paléolithiques, à la Terre et à la Fécondité. L’énergie féminine qui se dégage de ces pierres apporte la puissance du Yin.
C’est une pierre à offrir aux femmes qui cherchent à développer leur fécondité ou leur féminité. Ses lignes douces apaisent et renforcent la séduction. Elle renvoie également une excellente image intérieure de la Mère nourricière.
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Les 3 Doshas
Ayurveda, les 3 Doshas
Dans la philosophie ayurvédique les 5 éléments se combinent en paires afin de former 3 forces dynamiques qu’on appelle les Doshas.
Doshas signifie en sanskrit « ce qui change ». Car les Doshas dansent entre eux comme dans un ballet harmonieux en un mouvement perpétuel.
Les Doshas sont les forces de vie primaire ou humeurs biologiques. Ils sont présents dans tout organisme vivant et leurs dynamiques créent la vie.
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Les cinq solides de Platon
Les cinq solides de Platon
La géométrie sacrée est un instrument de dialogue entre l’homme et Dieu. Elle permet de trouver l’unité à l’intérieur de la diversité de la Nature. Elle fournit la compréhension complète et expérimente consciencieusement les formes de notre avenir et accélère le processus d’ascension.
Les cinq solides de Platon sont des polyèdres réguliers dont les arêtes ont même longueur, dont les angles sont égaux et les aires de chaque face sont égales. Chaque solide est circonscrit dans une sphère dont chaque sommet touche la périphérie de la sphère. Le nom de chaque solide est dérivé du nombre des faces le composant : respectivement 4, 6, 8, 12 et 20.
Les cinq solides étaient connus des Grecs anciens mais des peuples néolithiques d’Écosse ont construit des modèles en pierre des cinq solides au moins 1 000 ans avant Platon. C’est Platon qui fit la théorie énonçant que les éléments classiques ont été construits à partir des solides réguliers.
Le premier solide est le Tétraèdre, c’est le volume le plus simple. Il représente le 3 dans le 4 : la trinité dans la matière. Son influence est ascensionnelle et permet un alignement Terre/Ciel. C’est pourquoi il convient aux personnes désirant amplifier leur connexion avec le ciel en se dégageant de leur ancrage.
Le deuxième solide est l’Octaèdre .Il est lié au chakra du cœur et permet le recentrage, l’amour inconditionnel.
Le troisième solide est l‘Icosaèdre .Son influence est douce et permet de gérer les émotions et de clarifier les relations entre les individus.
Le quatrième solide de Platon, l’Hexaèdre, renforce l’enracinement et les rapports avec la Terre-mère.
Le Dodécaèdre, cinquième solide, apporte une harmonisation globale ainsi qu’une connexion douce avec les corps subtils. Le dodécaèdre dégage une ambiance légère et harmonieuse.
Les solides de Platon furent un sujet d’étude des géomètres en raison de leur esthétique et de leurs symétries. Leur nom en l’honneur du philosophe grec Platon rappelle une théorie, qui associe les Éléments physiques — les quatre éléments — à quatre solides réguliers convexes. Longtemps le nombre cinq et le nombre d’or furent des objets fétiches, associés au dodécaèdre de Platon. Il en est resté le mot « quintessence ». D’aucuns ont vu dans le nombre d’or une preuve de l’existence de Dieu. Dans ce tableau qui nous présente Luca Pacioli, auteur de La Divine Proportion (de divina proportione), un dodécaèdre de Platon est exposé en bas à droite, sans doute construit à partir d’un patron.
Les peuples néolithiques d’Écosse ont construit des modèles en pierre des cinq solides au moins 1 000 ans avant Platon (Atiyah et Sutcliffe 2003). Ces modèles sont gardés au Ashmolean Museum à Oxford. Dans l’histoire des mathématiques de la Grèce antique, on peut tracer la chronologie suivante. Les pythagoriciens ont eu une connaissance empirique de trois solides : le tétraèdre (la pyramide), l’hexaèdre (le cube), le dodécaèdre (douze faces). Qui exactement connaissait ? Selon Proclos, Pythagore lui-même (vers 530 av. J.-C.). Mais ce peut être son disciple Hippase de Métaponte, ou, plus vraisemblablement, Archytas de Tarente (vers 360 av. J.-C.). Peut-être Hippase a construit, le premier, le dodécaèdre. Il n’est pas fait mention de la pyramide avant Démocrite (fragment 155), actif vers 430 av. J.-C. Archytas aurait le premier construit le cube, pour résoudre le problème de la duplication du carré. Le premier, Platon mentionne le dodécaèdre, dans le Phédon (110b), qui date d’env. 383 av. J.-C. Le mathématicien Théétète d’Athènes (mort en 395 ou 360 av. J.-C.) a découvert les deux autres solides : l’octaèdre et l’icosaèdre ; surtout, il les a construits, le premier, tous les cinq. Platon a philosophé là-dessus.
Les solides de Platon jouent un rôle premier dans la philosophie de Platon, à partir duquel ils ont été nommés. Platon, dans le dialogue Timée (env. 358 av. J.-C.), associait chacun des quatre Éléments physiques (la Terre, l’Air, l’Eau et le Feu) avec un solide régulier. La Terre était associée avec le cube (Timée, 55d), l’Air avec l’octaèdre, l’Eau avec l’icosaèdre et le Feu avec le tétraèdre. Il existait une justification pour ces associations : la chaleur du Feu semble pointue et comme un poignard (comme un peu le tétraèdre). L’Air est constitué de l’octaèdre ; ses composants minuscules sont si doux qu’on peut à peine les sentir. L’Eau, l’icosaèdre, s’échappe de la main lorsqu’on la saisit comme si elle était constituée de petites boules minuscules. Par contraste, un solide fortement sphérique, l’hexaèdre (cube) représente la Terre. Ces petits solides font de la poussière lorsqu’ils sont émiettés et se cassent lorsqu’on s’en saisit, une grande différence avec l’écoulement doux de l’eau. Pour le cinquième solide de Platon, le dodécaèdre, Platon remarque obscurément, « le dieu utilisé pour arranger les constellations sur tout le ciel ». Platon mettait en correspondance le dodécaèdre avec le Tout (Phédon, 110b ; Timée, 55c), parce que c’est le solide qui ressemble le plus à la sphère. Aristote a nommé ce cinquième élément, aithêr (aether en latin, « éther » en français) et a postulé que l’univers était fait de cet élément, et qu’il était substantiel à tous les autres, qu’il les contenait tous. Speusippe, le successeur de Platon à l’Académie (en 348 av. J.-C.) a repensé la tradition pythagoricienne sur les cinq solides (Pythagore, Hippase, Archytas). Euclide a donné une description mathématique complète des solides de Platon dans les Éléments (env. 300 av. J.-C.) ; le dernier livre (Livre XIII) qui est consacré à leurs propriétés. Les propositions 13–17 dans le Livre XIII décrit la construction du tétraèdre, de l’octaèdre, du cube, de l’icosaèdre et du dodécaèdre dans cet ordre. Pour chaque solide, Euclide trouve le rapport du diamètre à la sphère circonscrite à la longueur des arêtes. Dans la proposition 18, il argumente qu’il n’existe pas plus de polyèdres réguliers convexes. Beaucoup des informations dans le Livre XIII proviennent probablement du travail de Théétète.
Au XVIe siècle, l’astronome allemand Johannes Kepler essaya de trouver une relation entre les cinq planètes connues à l’époque (en excluant la Terre) et les cinq solides de Platon. Dans le Mysterium Cosmographicum (en), publié en 1596, Kepler présenta un modèle de système solaire dans lequel les cinq solides étaient fixés les uns dans les autres et séparés par une série de sphères inscrites et circonscrites. Les six sphères correspondaient chacune aux planètes (Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter et Saturne). Les solides étaient ordonnés de l’intérieur vers l’extérieur, le premier étant l’octaèdre, suivi de l’icosaèdre, du dodécaèdre, du tétraèdre et finalement le cube. De cette manière, la structure du système solaire et les relations de distances entre les planètes étaient dictées par les solides de Platon. Vers la fin, l’idée originale de Kepler a été abandonnée, mais de cette recherche émergèrent la découverte des solides de Kepler, la constatation que les orbites des planètes ne sont pas des cercles, et les lois du mouvement planétaire de Kepler pour lesquelles il est maintenant célèbre.
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Les bols tibétains
Les bols tibétains ou bols chantants
L’origine des bols tibétains remontent à l’âge de bronze . Des forgerons nomades d’extrême orient ou mongols les ont introduits au Tibet.
Ils sont constitués de 7 métaux représentant 7 planètes du système solaire : l’or pour le Soleil, l’argent pour la Lune, le mercure pour la planète Mercure, le cuivre pour Vénus, le fer pour Mars, l’étain pour Jupiter et le plomb pour Saturne .
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Les Moqui marbres
Les Moqui marbres ou pierres de Shaman
Les origines des Moqui marbres sont peu connues. Aux États-Unis, la plupart d’entre eux proviennent de la formation de grès Navajo dans l’État de l’Utah. Elles sont pour la plupart lisses et elliptiques. Ce sont des balles rondes de grès compactées et encastrées dans une coque d’hématite (un minerai de fer). Elles sont aussi appelées « Moqui Balls », Thunderballs » ou « Shaman Stones ». Elles peuvent avoir une variété de tailles allant de la bille à une balle de baseball.
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Les Moqui marbres
Les Moqui marbres ou pierres de Shaman
Les origines des Moqui marbres sont peu connues. Aux États-Unis, la plupart d’entre eux proviennent de la formation de grès Navajo dans l’État de l’Utah. Elles sont pour la plupart lisses et elliptiques. Ce sont des balles rondes de grès compactées et encastrées dans une coque d’hématite (un minerai de fer). Elles sont aussi appelées « Moqui Balls », Thunderballs » ou « Shaman Stones ». Elles peuvent avoir une variété de tailles allant de la bille à une balle de baseball.
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Les runes
Les runes
L’alphabet original des runes nordiques, le futhark à 24 lettres, représentant les 24 constellations visibles des anciens Scandinaves, dont les Vikings, est souvent appelé la «ligne rune» et était organisé en trois groupes de 8 runes chacun, dénommés ätter (familles) : les ätts de Freyr (ou Frey), Hagal et T_r respectivement, le premier caractère de chaque groupe étant exemplifié par le caractère initial du nom.
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Les runes
Les runes
L’alphabet original des runes nordiques, le futhark à 24 lettres, représentant les 24 constellations visibles des anciens Scandinaves, dont les Vikings, est souvent appelé la «ligne rune» et était organisé en trois groupes de 8 runes chacun, dénommés ätter (familles) : les ätts de Freyr (ou Frey), Hagal et T_r respectivement, le premier caractère de chaque groupe étant exemplifié par le caractère initial du nom.
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